8 thoughts on “Colette Roumanoff: « Mon parcours de vie avec Swami Prajnanpad »

  1. Voila un visionnage qui fait du bien!
    Merci à vous.
    J’essaie de comprendre qui était Swami Prajnanpad et je lis et écoute ce que je trouve.
    De ce fait ce site est une grande ressource.
    Comme je ne connais pas votre adresse je me permets de vous signaler ici une lettre qui manque dans l’en-tête du site: « Maître contemporain » au lieu de « Maître conteporain »

  2. Bonjour Colette Roumanoff,
    Quel bonheur de vous écouter…quel cadeau ce site … merci infiniment.
    J’ai découvert Swamiji en 1989, à 46 ans.
    Une révélation dont je n’ai pas besoin de vous préciser l’intensité.
    J’ai lu, relu et travaillé (et garde précieusement) ensuite tout ce qui pouvait me permettre « d’entendre » Swamiji, et la lecture de la thèse de votre mari en fut un trésor.
    Ce maître est un de mes maître…j’ose le dire…car il m’a révélé à travers le témoignage et les écrits de ses disciples français ce qu’est « Voir ce qui est », ce qu’est « le présent »….comme vous le dites si bien … il m’a ouvert la porte de la grande liberté…
    Pour en rester là : il y a eu un avant la découverte de Swami Prajnanpad, et un après, un maintenant plein de gratitude…
    Merci de nouveau.

  3. J’ai adoré vous voir et vous écouter. Mon mari est atteint de la maladie à corps de Lewy, ça peut s’apparenter à la maladie d’Alzheimer. Et c’est vrai que durant un certain temps avant que je comprenne qu’il était malade, j’ai beaucoup souffert, j’ai beaucoup pleuré car je me trouvais en face de quelqu’un que je ne comprenais plus et qui non seulement ne m’intéressait plus mais que j’avais commencé à détester. Du jour, où le TEP scan a révélé les corps de Lewy et où j’ai pris connaissance de ce que cette maladie engendrait, ça a été beaucoup plus facile. Et désormais tout va bien. Ceci dit votre témoignage , vos souvenirs et la parole toujours vivante de Swami Prajdanpad font un bien fou. Et régulièrement que ce soit avec vous, avec Denise ou Arnaud Desjardins, j’aime me replonger à cetet source de savoir, d’authenticité et de bonheur. J’ai hâte de découvrir aussi Daniel, votre mari, que je ne connais pas… Merci.

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